Les éducatrices de l’économie bleue durable, en vedette : Ogaga Johnson

Voici Ogaga Johnson, PMP, chef de projet et éducatrice qui a conçu et dispensé la formation en gestion de projet pour le programme de stages de Plein cap vers un avenir bleu et le programme de stages du Centre for Ocean Ventures and Entrepreneurship (COVE).

Elle travaille dans le domaine de la gestion de projet depuis 2015, mais s’est engagée dans le secteur océanique plus récemment.

« La gestion de projet est nécessaire dans tous les secteurs et particulièrement nécessaire dans le secteur océanique pour augmenter rapidement la réalisation des projets et la valeur commerciale, ce qui conduit finalement à la croissance rapide de l’économie océanique », déclare-t-elle.

Les principes et les méthodologies de gestion de projet fournissent une structure qui aide à contrôler les résultats des projets et à atteindre leurs objectifs.

L’économie bleue durable a besoin de sa propre flotte de gestionnaires de projet, et il est temps de constituer cette réserve de talents, affirme Ogaga.

En tant qu’éducatrice, Ogaga accompagne les individus dans les principes et les méthodologies de la gestion de projet, et les aide à démarrer leur carrière dans ce domaine. Elle les aide également à se préparer, à étudier et à réussir les examens de certification en gestion de projet, tels que les examens CAPM et PMP. Jusqu’à présent, elle a travaillé avec des centaines de jeunes, de jeunes diplômés et de professionnels au Canada.

Pour elle, il s’agit d’une expérience enrichissante.

« Le métier d’éducatrice est très enrichissant, car il permet d’aider les gens à apprendre et à se développer, ainsi qu’à atteindre leurs objectifs professionnels. Vous devenez également une experte dans le domaine parce que vous êtes toujours en train d’apprendre et de vous améliorer », dit-elle.

Elle souhaite que davantage de jeunes sachent que la gestion de projet est une compétence essentielle à posséder et une option de carrière viable qui convient à divers secteurs, y compris ceux de l’eau et des océans.

Toutefois, il existe des difficultés dans ce domaine, et elle espère que les entreprises pourront y remédier.

« Il y a beaucoup de diplômé(e)s et de jeunes qui aspirent à devenir des gestionnaires de projet mais qui ont besoin de fonds pour se perfectionner ou se recycler dans ce domaine. »

Mais ne vous laissez pas décourager. Si vous cherchez à entrer dans le domaine de la gestion de projet, Ogaga dit : « On a besoin de vous et il y a de la place pour vous. »